Monstres et Merveilles

du 30 novembre 2008 au 31 mai 2009

Monstres et Merveilles

Animaux naturalisés de la collection

«Crabe» préhistorique, chevreuil à canines, papillon à tête de mort... Le temps d’un hiver, le musée de Saint-Imier devient le repaire d’êtres étonnants, bizarres, magnifiques ou effrayants. Venez découvrir les monstres et les merveilles de la collection!

Coraline Gajo
Fleurs du Jura

Du 4 mai au 5 juin 2017

En étroite collaboration avec le Musée d’histoire naturelle de La Chaux-de-Fonds, le Musée de Saint-Imier présente les 78 aquarelles de Charles-Edouard Gogler lesquelles font l’objet de la réimpression de l’ouvrage Fleurs du Jura édité par Pro Jura.

Coraline Gajo
ABCD aires – d’aujourd’hui, d’hier, d’ailleurs…

Du 16 juin au 26 novembre 2006

Le Musée de Saint-Imier présente sa nouvelle exposition temporaire consacrée aux abécédaires.

Issus d'une longue tradition transmise de mères en filles, les abécédaires (alphabets) font partie intégrante de notre patrimoine culturel et sont devenus une passion actuelle. De nature pédagogique, ils représentent un des aspects de la forme traditionnelle de l'imagerie.

Les pièces modernes présentées dans cette exposition ont été réalisées par les brodeuses du groupe: " Il était une… croix ".

Les écritures d'ailleurs viennent, pour certaines, de loin : Ukraine, Palestine, Boston…

Les ouvrages anciens sont des trésors de famille prêtés pour l'exposition.

Dans le cadre de cette exposition, le Musée propose un atelier créatif tous les mercredis après-midi, dans lequel petits et grands pourront broder leurs initiales au gré de leurs envies.

Coraline Gajo
Des papillons par milliers

Du 16 octobre 2005 au 16 avril 2006

7000 papillons à (re)découvrir.

Le Musée de Saint-Imier possède une collection de plus de 11'000 papillons. Plus de la moitié de cette collection est aujourd’hui présentée au public, pour la première fois depuis la fermeture du Musée en 1957.

Capturés entre 1880 et 1930 par des entomologistes amateurs, les spécimens de lépidoptères indigènes ou exotiques sont présentés dans leurs boîtes d’origine et ont, en plus de leur aspect esthétique, un intérêt scientifique certain : le Centre Suisse de Cartographie de la Faune envisage en effet d’étudier de plus près la collection imérienne.

Exposition conçue et réalisée par Nicolas Bourquin et Stéphanie Marthe, tous deux collaborateurs du Musée de Saint-Imier.

Coraline Gajo
Hommage à Henri Aragon

Du 8 octobre au 7 novembre 2004

Le Musée de Saint-Imier, bénéficiaire de la donation Henri Aragon, se fait un plaisir de présenter une rétrospective des œuvres de l’artiste au Relais culturel d’Erguël.

Henri Aragon, familièrement appelé « Zizi », est né à Vevey en 1909. Il réside à Saint-Imier dès l’âge de 12 ans. A la fin de sa scolarité, il fréquente l’Ecole des Arts de La Chaux-de-Fonds et séjourne par la suite à l’étranger, spécialement à Paris à la Cité des Artistes « Les Fusains », quartier de Montmartre.

De retour à Saint-Imier, il est nommé professeur de dessin à l’Ecole secondaire de 1956 à 1977, tout en continuant de peindre avec talent les beautés de notre région. Henri Aragon est décédé le 25 juin 2001 à Saint-Imier.

Coraline Gajo
Herbiers

Du 05 octobre 2004 au 29 mai 2005

Exposition de planches d’herbiers

Le Musée de Saint-Imier possède plus de 6200 planches d’herbiers, récoltées principalement dans toute la Suisse pendant la deuxième moitié du 19e siècle par divers scientifiques et naturalistes du village.

Pour la première fois, une sélection de cette collection est présentée au public dans le cadre d’une exposition sur le Règne Végétal.

 

Au total, l’exposition comporte une centaine de planches, regroupées selon différents thèmes :

 

·       L’évolution des Végétaux

·       Les caractéristiques du Règne

Végétal

·       La conservation de la Flore

·       Les Plantes médicinales et toxiques

·       La Végétation de Chasseral et des

Pontins

 

Exposition conçue et réalisée par Stéphanie Marthe, collaboratrice du Musée de Saint-Imier.

Coraline Gajo
Crèches du monde

Du 27 novembre 2003 au 11 janvier 2004

La cérémonie de Noël voulue par François d’Assise en Italie en 1223 a rendu populaire le mystère de la Nativité. Dans les siècles suivants, la crèche fait son apparition dans les églises et les couvents puis dans les palais de la noblesse pour pénétrer progressivement dans les maisons bourgeoises.

D’Italie, le berceau de la crèche, la tradition se répand rapidement dans le reste de l’Europe, en Amérique latine, en Afrique et en Asie.

En Suisse, les premières crèches remontent au début du XVIIe siècle. Au XVIIIe, la crèche est peu à peu écartée des églises et ne subsiste plus que dans les familles.

L’exposition présente des crèches provenant de tous les continents. Certaines, d’une simplicité extrême, ne présentent que les trois personnages centraux, Jésus, Marie et Joseph. D’autres y intègrent l’âne et le bœuf, les bergers et les mages, des anges, des moutons, voire un lama !

L’art de la crèche touche toutes les techniques, toutes les matières : figurines de plomb, de verre, de maïs, de mie de pain, de tissu, de bois ou de plâtre… Que la crèche soit grande ou petite (il faut parfois une loupe pour y observer tous les détails), modeste ou somptueuse, elle cherche toujours à rendre présent l’événement de la nuit de Noël.

Coraline Gajo